Le pouvoir d’achat des Français a considérablement diminué ces dernières années. Les écarts entre les différentes classes sociales n’ont cessé de s’agrandir et la crise financière de 2008 n’a clairement pas aidé. D’année en année, les classes moyennes rencontrent des difficultés pour joindre les deux bouts. Pour relancer la consommation, le gouvernement a alors décidé de faciliter l’accès au crédit à la consommation, notamment à l’aide du microcrédit. Si l’idée pouvait sembler bonne en théorie, elle ne s’est pas vérifiée en pratique. De nombreux souscripteurs se sont retrouvés endettés, notamment à cause du manque d’informations fournies par les établissements bancaires.
L’obligation d’information pour limiter la prise de risque
Depuis le début d’année 2016, la tendance est à l’information et à la sévérité. Alors qu’il y a quelques années, obtenir un crédit était possible en quelques clics, il est désormais bien plus difficile d’y accéder.
Salaires étant trois fois supérieurs aux mensualités, garants, nécessité de n’avoir aucun autre crédit en cours… Autant de conditions qui pourraient vous faire passer l’envie de tenter l’aventure. Face à cette triste réalité, de nombreux Français font appel aux crédits de particulier à particulier, aussi appelés PAP. Toutefois, cette solution reste limitée, les taux d’intérêt étant très élevés.
Une tendance qui se confirme chez nos voisins Suisses
La France n’est pas la seule à avoir durci ses critères de sélection. Les établissements bancaires suisses ont également pris les devants. Toutefois, le crédit à la consommation reste plus « laxiste » chez nos voisins helvètes, ces derniers ayant choisi de prendre plus de temps à informer les souscripteurs. Pour maximiser les chances d’obtenir satisfaction, certains font appel à des courtiers spécialisés, comme https://www.credit-conseil.ch/, qui obtiennent des taux d’acceptation très intéressants.
Force est de constater que le crédit à a consommation a encore de beaux jours devant lui, que ce soit en Suisse ou partout ailleurs en Europe et dans le monde. Reste à savoir si les gouvernements à venir auront les capacités à proposer des taux assez bas pour garder cette dynamique.